Vidéos gay
Un couple de jeunes mec, un blond et un asiatique.
Lun 30 jun 2008
1 commentaire
4****° Il n'y aurait pas de clip sans l'acteur asiatique appelé : "baby" = enfant, bébé, petit (terme affectueux qu'emploie, pour lui, la voix). L'acteur (faux blond) est froid-"coincé", pas "cool". Lui, émet des sons, qui ne lui sont pas dictés mais re-SENTIs. Il parle à son partenaire, ce qui le déride un peu. Il communique avec la voix. Il est la "vie" de ce clip. C'est la "merveille" qui sauve le clip. En tout bien tout honneur, j'aimerais l'avoir pour ami. C'est un "JE suis = YHWH : un vrai vivant" !
Chaque acteur livre une part de son INCONSCIENT, dans ses attitudes |corporelles = "pondérales", innées, ou comportementales = acquises = intellects (intellect masculin ; intelligence féminin), dans les diverses expressions de son visage (mimiques) dans ses mots, ses bégaiements - hésitations (corporelles ou verbales), ou dans ses silences expressifs-actifs, mutiques d'opposant, ou d'indifférence, dans ses tics (mimiques), dans ses répulsions-admissions,.....] Une part importante de lui, lui échappe; Il faut le fixer au bon moment et bien l'interpréter ! Mais notre INCONSCIENT à nous aussi joue son rôle (acceptation, rejet, étonnement, envie,....). Il lit le clip à sa manière (homo bien dans sa peau, homo frustré, hétéro hésitant, hétéro par éducation dangereux = les "casses PD", hétéro bien dans leur peau, les indifférents,...)
Un clip veut faire passer un message. Qu'elles sont les "conjonctions" qui favorisent la compréhension de ce message ? Qu'elles sont les "disjonctions" qui le fourvoient (écarter du bon chemin) ou l'altère : ce même message ? David nous conduit dans la complexité parce qu'un clip n'est pas anodin (sans gravité et qui ne porte pas à conséquence, insignifiant). S'il existe c'est qu'ils a un "signifiant" et un "signifié". A nous de ne pas nous laisser égarer par notre "étant = MOI" (en psy) dans les méandre de notre INCONSCIENT. (J'ai été très Jacques LACAN ce matin. On dit lacanien.)
David - le 17/07/2008 à 12h37